Ces apps qui révolutionnent le e-commerce

Avec les smartphones, effectuer un achat est devenu plus simple qu'un coup de fil. Un avantage dont les marques profitent déjà grâce à ces applis conçues pour elles.

by Azoya

A peine le commerce électronique s'est-il installé dans nos habitudes que son successeur semble le pousser vers la sortie ! L'entrée en scène du commerce sur mobile, ou m-commerce, est spectaculaire : depuis l'an dernier, les téléphones portables, smartphones et tablettes ont dépassé l'ordinateur pour les connexions internet quotidiennes. Près de 25 millions de Français sont déjà des mobinautes assumés. en “swipant” sur leurs smartphones, ils ont dépensé près de 7 milliards d'euros en 2016, deux fois plus qu'en 2015. Et ce n'est qu'un début.

Car le m-commerce ne se limite pas à la vente de produits. Il s'insinue dans tout le processus qui accompagne le cyberclient jusqu'au moment de son achat, que ce soit en ligne ou dans un magasin. Vu sous cet angle, il représente déjà un quart des transactions numériques en France. Du coup, observe Régine Vanheems, experte en commerce et professeure des universités, “tous les distributeurs se demandent comment lier le parcours online et en magasin des clients grâce à des solutions liées au smartphone”.

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Accompagner les Frenchies voulant s'implanter en chine, pays du mobile

© SP/Azoya. Un Chinois sur cinq a acheté un produit français sur son mobile en 2016. Un iflon que La Redoute a exploité à fond avec l'aide d'Azoya.

Avec 92% des habitants ayant acheté un produit sur mobile l'an dernier, la Chine est le paradis du m-commerce. Cosmétiques, mode, chaussures et même alimentaire : les Chinois craquent surtout pour les produits made in France, au point qu'environ 20% d'entre eux en ont commandé un en 2016. Azoya accompagne les sociétés hexagonales désireuses de partir à la conquête de ce gigantesque marché. “Nous nous chargeons du développement du site, de la logistique, de la gestion des réseaux sociaux, du paiement et même du service après-vente, essentiel pour les clients chinois”, explique Stéphane Rouquette, cofondateur de la start-up. 

La redoute et Bienmanger.com, précise-t-il, ont ainsi obtenu là-bas des résultats “au-delà des prévisions attendues”. Le marché chinois préfigure, selon lui, ce qui se passera en France d'ici à cinq ans, quand le m-commerce y sera généralisé.


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